Une année et demie est passée depuis notre départ de la
France, il était temps pour nous de faire un saut dans nos familles. Quel
meilleur moment que les fêtes de fin d’années pour les retrouver ?
Nous aimons tellement cette magie.
Il
faut savoir que partir vivre à l’étranger, c'est être loin des siens,
être absents à des événements, à leurs
anniversaires… et durant
la période de Noël, cet éloignement se fait davantage ressentir. Si vous êtes
comme nous, un couple sans enfant, Noël à deux, sans la famille, c'est pas drôle… OKAY, il y a
Skype mais avec le décalage horaire, ce n’est pas la même chose que d’être tous
ensemble attablé à discuter de nous, d’eux ou même de la pluie et du beau
temps. Quand tu décides d’immigrer, il faut vivre tous les jours, avec cette pensée que vous vivez ici et votre
famille en France ! Il faut assumer son choix !
Même si l’on se sent bien installé à Québec, la famille vient à manquer. Nous ne roulons pas sur l’or, en venant vivre au canada, nous avons décidé de vivre simplement et des billets d’avion, c’est un budget, mais la famille, c’est important. Et puis, quand tu pars un mois, il faut penser à tout, le chat à faire garder (d'ailleurs une petite parenthèse, si vous habitez Québec, nous vous conseillons l'entreprise "ô poil", très professionnel avec des nouvelles tous les jours), les factures, loyer à anticiper pour assurer les dépenses futures. Alors pour ce voyage, nous nous y sommes préparer dès septembre avec l’achat des billets ! Malgré que tout soit prêt, nous n’arrivions pas vraiment à réaliser !
Le chat étant gardé, la maison rangée, l’argent en poche, les valises préparés, c’était parti pour un mois de vacances dans notre pays d’origine. Pendant ce séjour, nous avons changé trois fois de région ; les Vosges/Alsace, la Côte d'Azur, puis la Normandie.
Même si l’on se sent bien installé à Québec, la famille vient à manquer. Nous ne roulons pas sur l’or, en venant vivre au canada, nous avons décidé de vivre simplement et des billets d’avion, c’est un budget, mais la famille, c’est important. Et puis, quand tu pars un mois, il faut penser à tout, le chat à faire garder (d'ailleurs une petite parenthèse, si vous habitez Québec, nous vous conseillons l'entreprise "ô poil", très professionnel avec des nouvelles tous les jours), les factures, loyer à anticiper pour assurer les dépenses futures. Alors pour ce voyage, nous nous y sommes préparer dès septembre avec l’achat des billets ! Malgré que tout soit prêt, nous n’arrivions pas vraiment à réaliser !
Le chat étant gardé, la maison rangée, l’argent en poche, les valises préparés, c’était parti pour un mois de vacances dans notre pays d’origine. Pendant ce séjour, nous avons changé trois fois de région ; les Vosges/Alsace, la Côte d'Azur, puis la Normandie.
Michaël est Alsacien, sa famille a été la première à nous accueillir
chez elle dans leur nouvelle maison dans les Vosges. Les douze premiers jours
sont passés en un clin d'œil, entre les sorties aux restaurants, les tours du
lac de Gérardmer, les magasinages, les moments de détentes ! On en a profité !
C’est passé si vite que l’on aurait voulu aller davantage du côté de l’Alsace,
la région voisine. Il faut dire que dans cette période troublée par des risques
d’attentats, nous n’avions pas envie de nous rendre dans de trop grand centre
urbain pour visiter leur marché de Noël.
En faite, quand on revient dans son pays, comme quand on
immigre dans un nouveau, au début chaque chose est un petit événement ! Inconsciemment,
nous retrouvons d’anciennes habitudes. Par exemple, décider d’aller faire des
courses aux supermarchés, c’est reprendre notre petite voiture manuelle, sur des
routes étroites, où tout le monde roule assez vite. On ne « jase »
plus (discuter en Québécois), on reparle en français, on écoute la radio local. De manière innée, on construit nos phrases différemment, on
utilise des mots que l’on n’a pas prononcés depuis plus d’un an. Dans le supermarché,
on ne sait plus très bien où se trouve ce que l’on cherche. On prend plus de
temps dans le rayon des vins ou des brioches et pâtisserie ! Quand vient le
moment de vider son panier ou son caddie, on se souvient qu’il n’y a plus de
sac plastique en caisse et que tutoyer la caissière et vouloir payer par débit
n’est ici pas possible !
Faire une halte de quelques jours au bord de mer, à la Côte
d'Azur, ça a été un délice. Prendre son petit déjeuner sur la terrasse,
aller courir sur la plage au 14 décembre, c’est magique. Lors d'une journée
dans le sud, nous avons pris le chemin vers Monaco et à chaque fois que l’on
passe par des routes que l’on reconnait cela rappelle divers souvenirs. Dans
notre nouvelle vie au Canada, on commence tout juste à se créer de tels
souvenirs ! Même en vacances, nous n’avons pas décroché à 100 % du
Québec. De temps à autre, nous regardions la météo, les nouvelles au travail,
les médias canadiens. Alors, -20 °C
ressentis à Québec et +20 °C au soleil à Antibes, je peux vous dire qu'on a su en profiter ! Ne parlons pas de la nourriture qui a été si
exquise durant tout le séjour. Nous n’avons pas eu le temps de goûter à tout, rien
que pour cela il faudra y revenir !
Dernière étape la Normandie, là encore des bons moments et
des sorties à droite à gauche. Quand vient l’heure de l’apéro, chacun trouve sa
place et ça papote agréablement. Quelques fois, le moment est
chahuté avec notre neveu très joueur, nous avons bien rigoler!(retrouver-le
dans l’article Tata, je n'ai pas raté l'avion !).
Indéniablement la France à un patrimoine incroyable, déambuler
dans les vieux villages d’Alsace, roulé le long de la promenade des Anglais à
Nice ou s’arrêter au port de Honfleur, c’est toucher à quelque chose
d’intemporel.
Auprès de chacune des familles, nous avons été
merveilleusement accueillis, elles ont mis les petits plats dans les grands! On
voit que pour elles aussi la distance est difficile. Quand vient, déjà le moment
de repartir, les bagages pleins à
craquer, nous sommes tristes, mais notre Québec d’adoption nous attends et nous
sommes aussi heureux de le retrouver.
Et vous, votre pays vous manque t-il parfois aussi ? Quels ont été vos sentiments en retournant dans votre pays d'origine ?
En Alsace et dans les Vosges:
Le Lac de Gérardmer
Des beaux bouquets au marché de Gérardmer
Décoration à Ribeauvillé
Les pères Noël de Ribeauvillé
Une ruelle Alsacienne
la foule au marché de Noël
Deux sangliers à la broche et une tuque canadienne!
Un magasin d'usine de linge de maison dans les Vosges
Une partie du rayon des brioches
Si vous êtes végétarien passez directement à la photo suivante!
Petit marché de Noël artisanal à Xonrupt-Longemer (Vosges)
Avant chaque repas!
Une façade de maison dans les Vosges
On prend la route (cf: Citroën Berlingo)!
Des beaux bouquets au marché de Gérardmer
Décoration à Ribeauvillé
Les pères Noël de Ribeauvillé
Une ruelle Alsacienne
la foule au marché de Noël
Deux sangliers à la broche et une tuque canadienne!
La choucroute d'Alsace!
Un magasin d'usine de linge de maison dans les Vosges
Une partie du rayon des brioches
Si vous êtes végétarien passez directement à la photo suivante!
Petit marché de Noël artisanal à Xonrupt-Longemer (Vosges)
Avant chaque repas!
Une façade de maison dans les Vosges
On prend la route (cf: Citroën Berlingo)!
A la Côte d'Azur
Les fortifications d'Antibes
Des palmiers en décembre
Le marché couvert d'Antibes
Célia devant le bar à absinthe!
Le régal du matin!
L'hôtel et restaurant "Carlton" sur la croisette à Cannes
Un yacht amaré au port d'Antibes, face au fort Carré
Vue sur l'entrée du port de Nice, depuis le Cap de Nice
Décoration au marché de Noël d'Antibes
La route de bord de mer
Le massif de L'Esterel
Le casino de Monte-Carlo à Monaco
Une école de voile de retour au port de la salis
En Normandie
Le pont de Normandie
La criée au port d'Honfleur
La rade du port d'Honfleur
le clocher séparé de l'église Sainte-Catherine du XVème siècle
Quelles belles carottes!
Au dessus des toits
Les maisons Normande à colombage
La devanture d'une boutique
A la rencontre du père Noël
Le village de Saint Etienne-sous-Bailleul se réveille
Le rendez vous quotidien!
les vaches Normande
Ohhh Canada!